Dans les années soixante, l'ingénieur Jean Bertin a essayé de faciliter la vie quotidienne par ses inventions aux hommes. Dans la lutte contre la pollution atmosphérique dans les villes, il a conçu de petites voitutres électriques. Il a construit un appareil, la surface de mer après un accident de pétrolier ou une catastrophe industrielle être nettoyé a pu. En outre, il a développé un moyen de transport public con&ccdil;u en fonction du besoin personnel pour le transport de passagers à petite distance. Celui-ci pouvait se changer entre les obstacles serpenter travers et sur de courtes distances sa hauteur de voyage - le "Tridim". On a essayé de réduire les pertes par frottement à un minimum, en pouvant glisser bâteaux ou de terrain sur film mince l'air comprimé.

En 1961, avec le premier véhicule de coussin aérien expérimental - le BC4 -, l'utilisation de cette technique pouvait être prouvée. Le BC7 est doit pour chaque pays en voie de développement - même sur des routes aménagées provisoirement il atteint 50 à 80 km/h. Sans problèmes, il glisse du terrain à l'eau. Le BC8 est un véritable véhicule d'amphibien qui atteint dans le terrain aussi bien que sur l'eau 100 km/h. Le N300 est conçu pour le transport côtier. Les véhicules se sont imposés depuis lors partout.

Si une invention d'intérêt économique est étée et soutenue par la politique, elle arrive sur l'étape d'expérimentation et peut être utilisée commercialement. Jean Bertin a réussi à convaincre les Georges Pompidou et le représentant de la planification régionale Olivier Guichard que son train de coussin d'air pourrait jouer un rôle important dans le concept des transports du pays, car les périodes de transport entre les villes diminueraient ainsi considérablement. Deux prototypes de ce temps existent encore. Le Maurice Berthelot est le ingénieur-en-chef de l'époque.

Maurice Berthelot, ingénieur, Paris:

"- 35 Ans après notre premier voyage avec ce train de coussin d'air - je suis assis maintenant dans la carlingue de 01ème. Jean Bertin lui même en collaboration avec une petite équipe dans son entreprise a développé nouveau et construit cette vehicule. Le projet a d'abord été financé sur des crédits. Déjà avec ses premières tentatives Jean Bertin a ouvert l'ère des trains à grande vitesse. Personne n'a cru en réalité alors à des vitesses de telle maniàre élevées. Avec le premier essai, nous venions en décembre 65 sur une distance de 7,5 km sans difficultés et sur 50 à 60 km/h. Avec la deuxième tentative, c'étaient déjà 100 km/h et trois mois plus tard a atteint nous 200 km/h."

En novembre 1967, le train a été équipé avec un réacteur et deux fusées de commencement. Après 2,5 km, il atteint une vitesse de 200 km/h. Alors, la premiére fusée a été allumée, et le train est aller avec 300 km/h; la deuxième fusée a été allumée, et le véhicule atteint peu 345 km/h. La stabilité parfaite de l'appareil était remarquable. Peu avant entrée dans la gare de la distance expérimentale la vitesse s'est encore élevée à 260 km/h.

Maurice Berthelot, ingénieur, Paris:

"Alors, nous voulions montrer, on était à atteindre quelles vitesses maximales avec un tel train de coussin d'air. Nous avons con&ccdiel;u aux 02 qui ont conduit jusqu'à 400 km/h."

Dans Gometz-la-ville - au sud-ouest de Paris -, en 1968 une voie de 6,7 kilomètres de longeur avec un nouveau prototype ont été mises en oeuvre sur une distance d'essai. Sur cette distance expèrimentale, avec le train d'essais, le 02 vitesses de 300 jus qu'au 400 km/h devraient être expérimentées. Le véhicule avec l'accélération extrêmement rapide sert aussi à l'industrie aéronautique lors du développement et de l'essai des pots d'échappement pour du matériel du Concorde.

Le ministère des transports avait donnée entre-temps la lumière verte au fabricant du train de coussin d'air. Dans le nord des Orlèans, une distance expèrimentale de 18 kilomètres de long a été construite. Ici devrait aller le I80 avec ses 80 sièges à la phase d'essai. Avec ses premiers voyages, le train d'un propulseur qui a été présenté caréné à la réduction de bruit a été exhorté. L'appareil a réalisé du point de vue technique aussi bien que concernant le comfort toutes les attentes. Le I80 a achevé 968 heures expèrimentales, a parcouru 68.000 kilomètres et au total transporté 16.000 personnes.

Au même temp, Jean Bertin développer pour court distances le train S44, qui avec un calme linearmotor équiper. Il atteintes une vitesses de 200 km/h et pouvait transporter 44 passagers. On a projeté que ce train de coussin d'air devrait servir toutes les trois à quatre minutes les distances Paris-Orlèans et Paris-Lyon. Les ingénieurs ont toutefois encore continué: Ils ont équipé le I 80 avec un réacteur de commande spécial et ont frappé avec 430,4 km/h l'enregistrement de vitesse pour des véhicules sur rail.

Le train de coussin d'air est basé sur un principe extrêmement efficace: La pression du coussin aérien sur les rails se règle de fa&ccdil;on dépendante de la vitesse et du fret à transporter elle-même. Les rails du train de coussin d'air sont à peine sollicités, car la pression reposant sur eux ne s'élève qu'à quelques gramme par centimètres carrés, tandis que les roues d'un chemin de fer font pression énorme.

Les résultats spectaculaires à atteindre avec un train de coussin d'air, ont été commentés abondamment et favorablement dans la presse. Mais les chemins de fer fran&ccdil;ais que leur réseau ferroviaire voulait seulement développer sur quelques distances de prestige pour des vitesses jusqu'à 160 km/h, ont vu sa position monopolistique en danger. En outre elle a entraîné parallélement au projet du train de coussin d'air - elle-même a participé ! - leur propre développement en avant: Le train à grande vitesse TGV

Les intérêts financiers et politiques sont toujours de la plus grande importance. Après le décès, Georges Pompidou en 1974 a signé le président récemment élu Valéry Giscard d'Estaing le jugement de décès pour le train de coussin d'air. Il a cassé le contrat à la construction de la première relation de ligne Cergy - La Défense que lui-même avait signée quelques mois auparavant en tant que ministres des finances. Quelques observateurs ont poussé cet échec sur un bruit trop élevé du train, autre sur une entrée économique et politique forte.

L'aventure échouée du train de coussin d'air montre qu'une invention importante ne doit pas s'entremêler inévitablement, même si ses technique et efficacité convainquent. La société se comporte après les critères qui sont inconnus aux régularités de la physique.